• Il manque les deux derniers gosses sur l'affiche

     

    Production Showtime à qui on doit entre autre Dexter, Homeland, Californication (en gros c'est pas HBO mais ça se rapproche de AMC)

    Résumé d'après Wikipedia:

    La série suit la famille de Frank Gallagher, un homme irresponsable qui passe son temps à boire et à tenter de profiter du système. Sa femme a abandonné sa famille en laissant leurs six enfants à leur père, qui sont donc livrés à eux-mêmes. Ils apprennent à se débrouiller et à subvenir à leurs besoins ensemble sous l'autorité de Fiona, l’aînée, qui apprend les difficultés de diriger une maison.

     Fiona (Emmy Rossum), l'ainée débrouillarde de la famille

     

    Ne vous fiez pas à l'affiche du haut qui sent bon la bonne humeur et la déconnade. Cette série est vraiment le top de ce qui se fait en matière de cassocerie. Pour se faire une idée du truc, il faudrait imaginer un croisement entre La Vie à Cinq (si si), Mariés 2 Enfants, Absolutely Fabolous et un truc genre The Corner ou la saison 4 de The Wire avec les gosses. Ouais c'est assez dur de se faire une idée mais en gros c'est ça.D'ailleurs le générique, assez génial et original, donne le ton:

     

     

     Il faut savoir que bien que ce soit l'adaptation américaine de la série anglaise éponyme, Shameless vaut le coup ne serait-ce que parce que l'ambiance est bien retranscrite (malgré que l'on ressente fortement le contexte anglo-saxon à travers certains trucs comme l'épicerie ou le petit frère bagarreur par exemple). Ce n'est pas un hasard si la traversée de l'Atlantique s'est bien déroulée, c'est parce Paul Abbott lui-même, le créateur de la série originale et grand connaisseur en la matière (voir son enfance catastrophique dans sa bio ), a grandement participé au développement de la version US.

    Mais surtout, elle mérite d'être vue ne serait-ce que pour la performance de William H Macy. Il est juste énorme dans le rôle du patriarche clodo totalement à la ramasse.

     

    Frank Gallagher (William H. Macy) patriarche déjanté source principale d'emmerde de ses proches

     

    Second rôle de première classe William H. Macy a fait montre de son talent dans pleins de films de grands réals comme Paul Thomas Anderson et les frères Coen (Boogie Nights, Magnolia et surtout Fargo). Avec son visage atypique (un croisement entre James Cagney et Droopy),  et son air d'Américain moyen à moitié ahuri/ lâche, il est devenu spécialiste des rôles de mecs fourbes, timides, voire associaux sous le costume de monsieur-tout-le monde.Il est d'ailleurs à Shameless ce que Steve Buscemi est à Boardwalk Empire: si tous les persos et leurs interprêtes sont au top, c'est clairement lui qui porte la série. Personnellement je trouve difficile d'imaginer quelqu'un d'autre que lui pour incarner Frank Gallagher après l'avoir vu dans le rôle.

     

    Concernant la série en elle-même, malgré le fait qu'elle traite de la vie de la famille Gallagher, elle en profite  pour aborder différents thèmes liées à la précarité: pauvreté, violence, alcoolisme, drogue, délinquance, misère sexuelle, communautarisme etc. La liste est longue et la série se révèle parfois assez dure, voire carrément glauque lors de certains passages assez barrés, au point que j'ai du arrêter de la mater un moment tellement elle me mettait mal à l'aise. Heureusement tout ceci ne serait pas supportable sans un humour en partie dû à l'énorme connerie de Frank qui a toujours le don de se mettre dans une merde pas possible. Et puis la série ne se limite pas à ça heureusement mais chaque épisode offre son lot de connerie incommensurable:

     

    Kevin le voisin (Steve Howey), aux prises avec sa femme Veronica (Shanola Thompson) et sa belle-mère (!!!)

     

    Bref j'ai pas tout vu mais cette série drôle et dure à la fois mérite le visionnage ne serait-ce que pour la galerie de personnages aussi perchés que touchants (Fiona et Lip, les ainés, en tête) qu'elle décrit et la manière dont elle dépeint les quartiers populaires de Chicago.

     

    A réserver à un public averti

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    N'étant pas particulièrement fan de hard rock, pour ne pas dire du tout, j'ai néanmoins décidé de parler d'un des plus célèbres représentants périodes 70 à 90, à savoir Van Halen.

     

    Pour la bio express:

    Van Halen est un groupe de hard rock américain fondé en 1972 à Pasadena en Californie. Le guitariste du groupe, Eddie Van Halen, est rapidement devenu célèbre pour ses prouesses techniques et sa sensibilité musicale. Il a surtout inspiré un nouveau courant de « guitar heroes » grâce à la popularisation de la technique du « tapping ». Leur premier chanteur David Lee Roth s'est imposé comme un véritable show man.

    De 1978 à 1998 le groupe a sorti onze albums, tous rentrés dans le top 20 du Billboard 200. Il a vendu plus de 75 millions d'albums à travers le monde et reçu plusieurs nominations aux Grammy Awards. Van Halen est classé dans le Guinness des Records comme le groupe ayant le plus grand nombre de tubes dans la Billboard Mainstream Rock List. En 2007, le groupe a fait son entrée au Rock and Roll Hall of Fame.

     

    Pour la bio détaillée c'est ici

     

    Il faut dire que pour moi Van Halen se résumait à ça:

     

     

    Autant dire que c'était un peu tout ce que j'aimais pas du hard rock des 80's et qui m'avait traumatisé étant gosse. Un délire un peu beauf que j'associe dans ma tête à un délire façon Jem et les Holograms. Pour les plus jeunes, Jem et les Holograms c'était ça:

     

     

    OK ça n'a aucun rapport mais dans ma tête ce genre de dégaine au carrefour de Kiss et Tina Turner s'est toujours associé à ce genre de musique. Bref j'aime pas.

     

    Alors pourquoi parler de Van halen aujourd'hui et pas un autre groupe? Pourquoi pas Metallica (hmmm...) ? AC/DC (patience...) ? Aerosmith (faut voir) ? Bon Jovi (euh on va pas abuser non plus) ? Parce qu'un jour, en regardant un épisode de Glee (oui oui Glee, la série avec les têtes à claques qui chantent dans des chorales mais j'y reviendrai une autre fois), je vois un des persos dire qu'il voulait reprendre une chanson de Van Halen parce qu'il était amoureux de sa prof. En l'occurrence celle-ci:

     

     

    Putain mais c'est bien en vrai Van Halen! En tout cas je kiffe cette chanson donc je me suis penché un peu sur la disco du groupe et laissé mes a priori de côté. N'étant pas un pro je vais pas taper de critique de spécialiste à la Philippe Manoeuvre et arguer que tel album et meilleur que l'autre et inversement. J'en sais que dalle. Tout ce que je sais en revanche c'est qu'il y a à boire et à manger dans leurs albums. J'ai même entendu une version un peu foireuse de Pretty Woman version rock cool (mouais...)

     

    Il est clair que musicalement, pas besoin d'être un zikos, d'être fan ou d'avoir une oreille musicale ultra développée pour voir que les mecs sont des bêtes techniquement.

    Solo d'Eddie Van Halen

     

    Pour faire bref: même si ce groupe est ultra connu je ne m'étais jamais penché sur leur musique. Y a vraiment à boire et à manger dedans (je l'ai déjà dit non?) mais au delà du haut niveau des membres (Eddie Van Halen figure 70ème dans la liste des plus grands guitaristes de tous les temps selon le Rolling Stone Magazine), leur musique période 70-80, plus technique qu'il n'y parait au premier abord, est assez en phase avec l'époque à laquelle elle était produite je trouve et groove suffisamment pour devenir assez sympa même pour les oreilles du non amateur de hard rock que je suis.

     

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  • En tant qu'aspirant écrivain, ou artiste contrarié (c'est selon), je suis censé être sensible à l'art donc (c'est le cas) et m'intéresser à ce qui fait l'art avec un grand ou petit A. Afin donc de conserver cette "sensibilité" je suis allé voir l'expo consacrée à Sonia Delaunay au Musée d'Art Moderne.

    Après avoir traversé un portique digne de la préfecture de Bobigny avec le vigile de circonstance qui m'a sorti du "par contre laisse ton sac au vestiaire mais c'est gratuit t'inquiète!" (Limite si c'était pas "wesh cousin" Il m'a pris pour un clochard ou quoi avec son vestiaire gratuit? Et puis vouvoie-moi la prochaine fois enculé), j'ai enfin pu me plonger dans cet expo dont c'était les tout derniers jours.

     

    Pour ceux qui ne connaissent pas Delaunay c'est une artiste d'origine russe qui a commencé à œuvrer début du 20ème siècle et a traversé toutes les époques pour s'éteindre en 1979.

     

     

    Bon je vais pas m'attarder sur sa vie. En bref elle est issue de la grande bourgeoisie feuj ruskov au départ, et  elle est très influencée par Gauguin, Van Gogh, puis par le fauvisme.

     

    Sonia Delaunay, Finlandaise, 1908, Jérusalem, The Israel Museum (détail).

     

    Elle s'installe à Paris en 1906 et parvient à trouver son style très caractéristique dans les années 1910 environ et traverse différents courants, en particulier le dadaïsme dont elle se sent assez proche un moment (elle est pote avec Tristan Tzara). A partir de là elle consacrera sa carrière à la recherche de supports (meubles, vêtements, canevas, patchwork etc.) et au travail tout d'abord sur la lumière électrique, puis les couleurs et les figures géométriques, en particulier les courbes.

    Le Bal Bullier

     

    S'il y a bien quelque chose qu'on peut dire sur cette expo c'est qu'elle est exhaustive. Le directeur d'expo a du se prendre la tête à contacter tous les musées du monde pour gratter le plus d’œuvres possible. De fait, on se retrouve avec un peu tout: des photos de famille, des croquis, des "études". C'est limite si on n'en fait pas une overdose d'ailleurs mais au moins on ne peut pas ne pas être fixé sur le travail de Delaunay et son cheminement tout au long de sa vie après avoir vu l'expo. Après concernant son travail justement, je suis assez mitigé. Je me souviens être resté perplexe à plusieurs reprises devant certaines œuvres.

     

    Si Delaunay est dotée d'un talent indéniable et ce dès son jeune âge je trouve son évolution un peu décevante. Autant la première partie de son œuvre est clairement sous influence (Gauguin etc.), autant j'ai trouvé le travail autour de la lumière et de l'électricité intéressant, comme on peut le voir sur la peinture ci-dessus avec des jeux de lumière qui pourrait faire croire qu'on regarde certaines scènes au travers de vitraux. D'ailleurs par la suite j'aime beaucoup son travail autour de la symétrie et des courbes

         

     

    Par contre quand elle évolue de plus en plus vers l'abstraction genre ça:

     

     

    Euh comment dire... Franchement y avait des trucs, on aurait dit des trucs de maternelles sérieux. J'essaie d'être ouvert mais y a une partie de moi qui reste insensible à ce genre de truc.

     

    Etude de personnage Craies grasses de couleurs

     

    Ce truc est digne d'être exposé? Une étude ça? Tu me donnes 4 crayons de couleur et je te le fais, et en nettement mieux. Faut pas abuser quoi.

     

    Blague à part (ou pas d'ailleurs), s'il y a bien quelque chose qui ressort de l'expo à travers son travail c'est bien la personnalité de Delaunay. La femme a tout fait: de la pub (normal), de la tapisserie (?), des costumes pour spectacle (pourquoi pas), du stylisme (...), et pleins de trucs assez moches ma foi. C'est peut-être injuste mais en sortant de là j'ai eu comme l'impression de voir le boulot d'une meuf pétée de thunes avec son mari qui se faisait un peu chier dans la vie et comme tout rentier a fait l'artiste parce qu'elle avait que ça à foutre un peu...

     

    Bref je suis un peu déçu. Par l'exposition déjà qui a balancé tout ce qui était possible au point de mettre des trucs franchement dispensables à mon humble avis et sans fil conducteur autre que la chronologie de Delaunay. Par l’œuvre de Delaunay ensuite qui si elle est intéressante m'a semblé assez limitée parce qu'une fois arrivé à la période "rond-carré", elle n'a plus fait que ça: des ronds, des ronds et des ronds. Alors oui certaines sont magnifiques et fascinantes mais franchement sur la longueur ça fait truc d'autiste.

     

    A découvrir pour ceux qui ne connaissent pas mais ça ira pas plus loin pour moi.

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  • Enfin un livre qu'on serait pas étonné de trouver là au cas où on viendrait par hasard. Bah oui "Champ de Mines", "l'Art de la Guerre", "Orage d'Acier" ça reste dans le ton.

     

     

     

     

     

    Je ne sais même pas si on peut appeler ça un roman à proprement parler, sachant que livre se résume à une suite de descriptions et et un nombre ultra limité de dialogue. On pourrait plus apparenter ça à des mémoires de guerre.

     

    Personnage controversé s'il en est, à la fois véritable héros de guerre (amplement justifié à la lecture du bouquin en tout cas) et sympathisant nazi, Ernst Junger reste un personnage complexe et fascinant.

    Nazi swag

     

    Je ne vais pas m'attarder sur la bio de ce personnage ni sur les les diverses polémiques qu'il a suscitées au cours de sa vie (militantisme militaire, affiliation au parti nazi, pacifisme, francophilie) car ce n'est pas l'objet de cet article. Il y en a d'autres qui sont sûrement très bien faits à ce sujet.

    La lecture de ce bouquin est assez éprouvante, tant par le style clinique, froid et quasi sans dialogue (il s'agit d'un ensemble de notes prises durant la guerre), que par l'absence totale de dramaturgie. Il n'y a pas d'enjeu ici hormis de remplir sa mission et dans un deuxième temps de survivre. Ayant lu A l'Ouest, Rien de Nouveau il y a peu de temps, j'avoue avoir été quelque peu décontenancé par ce récit assez abrupte donc où le jeune Ernst Junger atterrit sous le feu des combats, se fait blesser, revient, se refait blesser,monte en grade,  re-revient, se re-refait blesser...

    A la lecture du livre on peut se demander comment un mec, presque tout le temps en première ligne du front a pu revenir vivant d'un enfer pareil. La grande force d'Orages d'Acier, c'est ce profond sentiment d'immersion au milieu des tranchées et de l'horreur ordinaire de la première guerre mondiale. Les cadavres s'empilent à une vitesse affolante, en général atrocement mutilés, les balles fusent, les obus pleuvent, les camarades tombent comme des feuilles, mais qu'importe! Le principal est d'avancer coûte que coûte.

     

    Pourtant et c'est un détail qui m'a un peu étonné, il y a finalement très peu de description de la promiscuité endurée dans les tranchées,  hormis quelques rares passages où il évoque brièvement les gros rats, les poux et l'immense boue à laquelle la tranchée est parfois (souvent) réduite. De fait, on est donc loin de l'image des Poilus à la Française, ce n'est pas ce qui importe à Ernst Junger et c'est normal. Quand on est en première ligne du front, que la plupart de ses camarades tombent comme des mouches et que le seul abri vaguement fiable soit le trou creusé par un obus, je pense qu'on a vite fait d'oublier la saleté ambiante. Par contre contrairement aux romans de guerre habituels, l'auteur fait tout de même la part belle aux descriptions "pratiques". Ainsi on découvre l'arrière ligne et les conditions de ravitaillement des vivres et des armes, le rythme des militaires, la relation avec les camarades, les supérieurs, les subordonnés ainsi que la cohabitation avec les habitants de villes et villages occupés. J'y ai même appris l'existence des cyclistes et des coureurs de combat sur le champ de bataille.

     

    Il y a un regard à la fois "martial" et très chevaleresque sur la guerre. J'entends par là qu'Ernst Junger ne s'émeut qu'assez rarement du sort réservé à la plupart des soldats comme s'il était tout à fait naturel qu'ils ne soient là que pour remplir leur devoir (autrement dit servir de chair à canon). Pourtant d'un autre côté il n'y a jamais aucune antipathie que ce soit à l'égard de ses ennemis. Il les combat parce qu'ils sont dans l'autre camp  et rien d'autre. Il fait d'ailleurs assez souvent mention de la bravoure de ces derniers que de ses pairs, aussi on peut ressentir le respect qu'il éprouve vis à vis de certains Anglais, Français, de la plupart des Ecossais, voire des Indiens. D'ailleurs, et c'est assez curieux mais important de le remarquer, bien qu'il ait mené campagne en Alsace, dans le Nord, en Picardie et en Belgique, il a principalement fait face à des Anglais (ou colonies).

    En bref, c'est un très beau roman (parce que ça en reste un), et plus encore, un témoignage très instructif, très immersif et donc très intense sur les quatre plus violentes années d'un engagé volontaire qui au terme de son parcours aura frôlé la mort des dizaines et des dizaines de fois, été blessé sérieusement une quinzaine de fois, et reçu la plus haute distinction militaire.

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  •  Je me sens seul. Pas que je manque d'amis ou d'amour hein? J'en suis pas là quand même. Simplement de temps en temps je cherche des blogs intéressants et dans un délire pas trop éloigné du mien que je pourrais épingler, commenter (et pas que pour ramener du monde vers le mien, parce que je suis dans l'échange si si) et finalement j'arrive pas à trouver. Je dois mal m'y prendre je pense parce que des blogs d'écriture, de ciné et de bouquins ça court les rues normalement. Pourtant j'y arrive pas. Quand je regarde les blogs je tombe ou sur des blogs quasi pro, ou bien sur :

     

    - des blogs consacrés à la pêche en Auvergne

     

     

    - des blogs de mode

     

     

    - des blogs sur les recettes grand mère Marinette

     

     

    - des blogs mangas créés par des ados en pleine idéalisation du Japon avec des pseudos du style Oni-chan, one-chan, sakura-chan, ebi-chan, tamago-chan, yakitori-chan, sashimi-chan, voire Luffy-Kun pour les plus audacieux...

     

     

     

     

    Pas que ça me dérange hein, il en faut pour tous les goûts et chacun a son utilisation d'un blog et d'Internet en général (même si les 3 quarts du trafic web concernent les téléchargements de films, musique, les jeux et le porno. Ne mentez pas c'est vérifié ha ha!). J'ai même vu un blog qu'un mec avait créé pour parler de la pluie, du beau temps et de son cancer (...). Bah si ça peut lui permettre de se sentir mieux et à d'autres d'apprendre des choses bah c'est tant mieux. C'est juste que c'est pas du tout ce que je recherche mais ça c'est mon pb.

     

    De temps en temps je tombe aussi sur des listings thématiques de blogs avec pas mal de présentations du style:"salut j'ai créer ce blog, parsque j'aime écrire. Bone visite et n'hésiter pas a commentez!"

    WTF!! Et j'exagère même pas. Je comprends qu'un ado (ou un adulte d'ailleurs) fasse des fautes et j'en suis pas exempt mais sérieux quoi.  alors OK je suis un vieux con ou presque et c'est toujours pas à moi que ces blogs s'adressent (heureusement) mais faites un effort sérieux...

     

    Bref. Je trouve pas. Je dois être bizarre.  Ou pas.

     

    L'enfer c'est les autres.

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