• Lianne La Havas, c'est typiquement le genre d'artiste que j'apprécie mais que je n'ai jamais pris la peine d'écouter réellement.

     

     

    Avec son nom d'agence de voyage (ou d'agence de presse c'est selon) Lianne La Havas a tout pour me plaire. En effet elle chante (très) bien et écrit (probablement) de belles chansons. En plus elle est plutôt b... enfin elle a un physique plus qu'agréable (et plantureuse). Et puis elle a une jolie petite frimousse pour ne rien gâcher.

     

    Ah ouais quand même

     

    La bio express: Née en 1989 à Londres d'une mère jamaïcaine et d'une père grec, Lianne ( Lianne Charlotte Barnes de son vrai nom) commence très jeune l'apprentissage de la musique sous l'influence de son père lui-même musicien. Elle tient d'ailleurs son  pseudonyme d'une contraction du nom de famille paternel (Vlahavas). Elle quitte l'école à 18 ans pour se consacrer à la musique. Au gré des rencontres et des démos, elle devient choriste de la chanteuse Paloma Faith, puis signe en 2010 un contrat avec Warner Bros.

    En 2012 sort son premier album Is your love Big Enough ? Il rencontre un grand succès et est nominé au prestigieux Mercury Prize en tant qu'album de l'année. La sortie de Blood, son second album, est prévue pour ce juillet.

    (source: Wikipedia en)

     

    Comme j'écrivais précédemment je connais l'artiste de nom depuis la sortie de son premier album mais j'ai jamais trop calculé. Pour faire simple, elle s'inscrit un peu dans cette mouvance de chanteuses anglaises aux sonorités folk soul comme Rox et surtout Corine Bailey Rae (et probablement quelques autres que j'ai oubliées ou que je ne connais pas).

    Peut-être que malgré le fait que leurs sons soient finalement assez différents, j'avais l'impression de réécouter un peu la même chose. Son premier album est pourtant bon, très bon même. Avec de bons singles dont certains que je kiffe particulièrement:

     

     

     

     

     

    D'ailleurs en voyant Forget, j'avais oublié que ce single, qui me fait un peu penser à du Kelis soit dit en passant, sortait de cet album. On notera l'influence probable des Rita Mitsouko sur la tenue vestimentaire de la belle. En même temps les Anglais ne sont jamais très loin lorsqu'il s'agit de s'habiller un peu n'importe comment.

     

    D'ailleurs le reste de l'album est assez à l'image de ces single: parfois soul, parfois un peu plus folk, parfois un peu plus "nerveux", avec un bon lot de chansons d'amour et autres ballades. Personnellement une chanson comme celle-ci :

     

    j'adhère totalement. En fait j'adhère totalement à l'album qui ne comporte aucune mauvaise chanson en ce qui me concerne. J'y peux rien, je fais le malin à parler tout le temps des corps des chanteuses et actrices mais je suis un gros romantique en vrai (sisi)...

     

    Enfin bref, je kiffe. Comme indiqué précédemment son nouvel album va sortir d'ici peu. D'ici là, la miss nous fait patienter avec ça:

     

     

    Bon c'est pas du niveau des singles du premier mais ça passe tout seul quand même

     

    Moi je dis, vivement fin juillet.

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    Découvert sur le Net où il semble beaucoup faire parler de lui, ce court mérite bien sa "médiatisation" vu que c'est une petite réussite.

     

    Le pitch (pris sur le Journal du Geek):

     

    L’histoire suit les pas de Kung Fury, un flic rebelle qui se retrouve à voyager à travers le temps afin de tuer sa Nemesis, Adolf Hitler, « Kung Führer ». Rien que ça !

     

     

     

     On dirait pas comme ça mais ce film qui se passe dans les bas fonds de Miami est... suédois. Financé je sais pas trop comment (via lesite de crowfunding Kickstarter, ça a quand même dû coûter pas mal), ultra référentiel, bourré d'effets spéciaux (des dinosaures putain!), le film est un hommage à tout ce qui a fait la gloire des 80's - 90's, en vrac: Karaté Kid, Chuck Norris, Jean Claude Van Damme et les films de la Canon en général, Robocop, Retour vers le Futur, Tron, Les Tortues Ninja, Jurassic Park, les jeux Double Dragon et Street of Rage, Les Maîtres de l'Univers, MASK, Terminator, Miami Vice et même K 2OOO. Du grand n'importe quoi donc.

     

        Kung Fury (David Sandberg) et son partenaire Triceracops

     

    A Noter que Kung Fury a été écrit, interprété, produit et réalisé par David Sandberg. En gros il sait tout faire le mec.

    Bref, j'en dis pas plus. Regardez et admirez, simplement:

     

     

     

    Le Film

     

     

     

    Bonus : clip de David Hasselhoff:

     

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    Bon autant les trucs de comics j'en rien à foutre (X Men, Avengers et cie), autant Mad Max c'est quand même un incontournable.

    Déjà parce que c'est une "saga" fondatrice d'un sous genre (le post apocalyptique) dont l'imagerie guerrière, en pleine période punk est devenue avec deux ou trois autres films comme Warriors de Walter Hill et dans une moindre mesure Escape from New York de John Carpenter, une référence incontournable.

    On pourrait parler longtemps des "enfants" de Mad Max mais comme je ne suis ni journaliste, ni historien du cinéma, je ne ferai pas de recherche pour en dresser un exhaustive.

    Allez on peut quand même évoquer les classiques italiens Les Guerriers du Bronx, 2019 Après la Chute de New York et leurs suites et le Cyborg avec JCVD. Et aussi certains clips dont le fameux tube interplanétaire du rappeur le plus adulé au monde avant l'arrivée d'Eminem, à savoir California Love de feu 2Pac.

     

    Plus récemment on peut parler de La Route (même si c'est adapté d'un magnifique roman de Cormack McCarthy), de Death Sentence, du Livre d'Eli des Hugues brothers, et de Doomsday de Neil Marshall.

     

    Mais pour la génération Dorothée dont je suis issu, Mad Max évoque forcément un des meilleurs animes diffusés dans le Club Dorothée (et qui a par la même occasion causé la fin des animes japonais sur TF1 car jugés trop violents; merci Ségolène...):

     

     

    Hokuto no Ken ou Ken le Survivant en VF qui est un mélange de Bruce Lee, Mad Max et du méconnu Violence Jack.

     

    Ensuite parce que c'est George Miller, le créateur et réalisateur de l'original (de toute la saga même) qui rempile pour ce quatrième volet. Il faut quand même rappeler que le dernier thème Au Delà du Dôme du Tonnerre avec une Tina Turner encore en mode milf, date de 1985, soit 30 ans. Depuis George Miller n'a cessé d'essayer de monter sans succès un nouveau Mad Max. Bon entre temps il a quand même eu le temps de réaliser quelques films comme Les Sorcières d'Eastwick (très bon dans mes souvenirs), Happy Feet ou encore Babe, Le Cochon Devenu Berger et sa suite:

     

     

     

    Rigolez pas, il est très bien ce film. N'empêche c'est pas pareil quand même.

     

    Honnêtement je dois entendre parler de Mad Max depuis le début des années 2000. Tour à tour avec Mel Gibson, en animation puis en 3D, le projet s'est enlisé au point de devenir une espèce d'Arlésienne à Hollywood, au même titre que Conan (qui a eu moins de chance pour le coup sans l'apport de John Milius). Le bon côté c'est qu'il a entretenu une sorte de légende, créant une certaine attente autour du possible retour de Max Rockatansky.

    Je ne connais pas les détails du truc mais tout semble s'être débloqué il y a 3 ans environ avec l'arrivée de Tom Hardy sur le projet (sur Wiki il est indiqué que Charlize Theron est confirmée depuis 2009 en fait). Et aujourd'hui Mad Max est bien là.

     

     Résumé (choppé sur Allociné):

     

    Hanté par un lourd passé, Mad Max estime que le meilleur moyen de survivre est de rester seul. Cependant, il se retrouve embarqué par une bande qui parcourt la Désolation à bord d'un véhicule militaire piloté par l'Imperator Furiosa. Ils fuient la Citadelle où sévit le terrible Immortan Joe qui s'est fait voler un objet irremplaçable. Enragé, ce Seigneur de guerre envoie ses hommes pour traquer les rebelles impitoyablement…

     

     Le Trailer

     

     

    Visuellement très abouti (voir les magnifiques déserts australiens tournés... en Namibie), sacrément bourrin (voire bourrin comme pas possible), le film annonce la couleur avec une introduction assez intense et ultra nerveuse décrivant bien la folie d'un monde en proie à des hordes de hors la loi et aux tribus ultra violentes. C'est le monde de Mad Max.

     

    Mad Max (Mel Gibson), l'original

     

     

    Le film est certes violent, mais finalement nettement moins sombre que ce à quoi on aurait pu s'attendre. Non dénué d'humour le film assume son statut de blockbuster avec des moments complètement barrés comme ce musicien de guerre 2.0:

     

     

     WTF!!!

     

    Côté interprétation même si Tom Hardy est une valeur sûre, on pouvait quand même appréhender le fait qu'il succède à un Mel Gibson ultra charismatique dans le rôle qui l'a fait connaître. Et ben il faut avouer qu'il s'en sort plutôt bien.

     

    Mad Max version 2015 (Tom Hardy)

     

    Bien que le script soit solide (et assez "minimaliste"), on peut quand même regretter que Mad Max soit relativement relégué au second plan. La faute à une histoire bien plus axée sur le personnage de Furiosa très bien interprétée par la belle Charlize Theron. En effet, dans ce rôle de guerrière manchot en quête de rédemption, Charlize crève l'écran, belle et hargneuse même avec un bras en moins. En même temps je ne suis pas objectif car je suis fan, mais il faut bien admettre qu'elle est magnétique.

     

    Furiosa (Charlize Theron), une guerrière née

     

    Enfin il ne faut pas oublier les méchants qui ont fait la réputation de la saga. Toujours confronté à des motards et autres routeurs, Mad Max a cette fois fort à faire avec au moins 4 bandes à ses trousses, dont la plus redoutable est menée par le charismatique Immortan Joe. Le patriarche centenaire et son armée de fils entretient un culte de la personnalité digne du Colonel Kurtz.

     

    Immortan Joe (Hugh Keays-Byrne), le chef d'une étrange tribu

     

     A noter que Hugh Keays-Byrne, qui joue le bad guy donc, jouait déjà le méchant dans le premier volet. Ainsi le voir dans le rôle de ce tyran vieillissant (et des autres vieux chefs), sonne comme la fin de quelque chose. Peut-être pour un nouveau départ.

    Enfin bref, assez parlé!

    Intense, épique, sans temps mort, dantesque, grand guignol, violent et ultra bourrin au point d'être éprouvant, le film tout en démesure fait l'effet d'un roller coaster visuel. Chacun aura son avis sur le film mais en tout cas il y a bien quelque chose dont on peut être sûr: Mad Max is back!!

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  • Il y a un moment que je m'intéresse à Amin Maalouf. Plusieurs connaissances me parlent de ses oeuvres avec enthousiasme, le mec est non seulement auteur de best seller mais aussi académicien, et par ailleurs également oncle du grand trompettiste Ibrahim Maalouf. Un de mes amis m'avait conseillé Léon l'Africain qu'il avait adoré mais un concours de circonstances m'a mis sur la route de son dernier bouquin.

     

     

     

    Résumé:

    A la suite d'un appel de Mourad, un ami à qui il n'avait pas adressé la parole depuis 25 ans, Adam comprend que ce dernier est sur le point de mourir et qu'il souhaite le revoir sur son lit de mort. Adam prend aussitôt un avion et revient dans son pays natal, un pays qu'il a fui avec l'émergence du conflit qui a ravagé la région.

     

    Bon honnêtement au départ j'ai eu un peu de mal à rentrer dans le délire. Le mec prend un avion comme s'il prenait un bus. Ok y a urgence mais quand même! Ensuite l'ami Mourad en question est un notable,  Adam est hébergé chez son amie qui a un hôtel de luxe avec chauffeur, serveur champagne à volonté chaque jour etc.son autre ami d'enfance a un jet... Franchement ça m'a gonflé, l'impression de lire un truc de riches qui ont des problèmes de riches.

     

    Heureusement Amin Maalouf est loin d'être idiot (bah oui), et cet étalage de fric n'est pas anodin. Comme il le souligne à plusieurs reprises, si certains sont devenus si riches c'est que la guerre profitent parfois à certains (comme le disait Schindler au début du film de Spielberg). Aussi plusieurs questionnements ressortent du livre. S'il est facile de l'extérieur de poser un jugement sur les actes de chacun, personne n'est capable d'indiquer ce qu'il aurait fait en restant au pays, et jusqu'à quel point on est capable de conserver son intégrité morale dans un contexte où celles-ci deviennent des concepts abstraits et seule la loi du plus fort finit par l'emporter.

    Mais au fond, le vrai coupable c'est la guerre. C'est elle qui a changé la vie de tous les protagonistes, et qui a chassé Adam,Albert et Naïm de leur paradis d'étudiants idéalistes. Ce qui est intéressant c'est que malgré l'évidence du pays Amin Maalouf ne mentionne jamais le Liban explicitement. Non seulement parce que la guerre est universelle, mais surtout parce qu'elle n'a pas seulement ravagé un seul pays. Au point que que même ayant grandi dans ce pays, Adam se rendra compte que les locaux ne le considèrent plus comme un des leurs.

    Comme le dit Sémiramis, la meilleure amie d'Adam, "ici" on ne dit pas la guerre" mais "les événements", tout simplement parce qu'il s'agit d'une succession de conflits qui ont vu s'affronter plusieurs parties différentes, parfois pour des motifs religieux, parfois ethniques ou politiques.

    Aussi selon Amin Maalouf, la guerre a non seulement changé le pays à jamais mais aussi toute la région. Ainsi il fait de nombreuses fois référence au conflit Israelo-Palestinien et à la façon dont il a changé le paysage de manière irréversible, forçant les populations juives séculaires ou millénaires à s'exiler en Israël.

    Pourtant au delà même de la guerre, ce retour forcé au pays ou au village des protagonistes ravivera des souvenirs heureux de leur vie passée, mais aussi des blessures secrètes.

    Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si le héros s'appelle Adam, loin de là. Tout au long du roman Amin Maalouf fait référence au premier homme et nous renvoie face au péché originel et à son Paradis perdu (son pays, sa jeunesse, ses amis, la maison de ses parents) à la fois avec nostalgie et fatalisme.

    A travers les yeux de cinq amis quadragénaires dont les destins ont basculé avec le début d'un conflit qui ravagé le pays, Amin Maalouf livre un roman vaguement autobiographique assez pessimiste sur une région qui ne s'en est jamais remis, qui plus que jamais est en perte de repères, en proie à un extrémisme religieux et qui montre les prémices d'une fin de civilisation.

     

    Beau livre

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    Né le 18 January 1983, Ghostpoet (Obaro Ejimiwe de son vrai nom) est un chanteur et musicien britannique. Il sort en 2010 son premier EP The Sound of Strangers chez Brownswood Recordings mais se fait vraiment connaître du public avec le single  "Cash & Carry Me Home" qui sera rapidement suivi de son premier album  Peanut Butter Blues & Melancholy Jam. Il participe dans la foulée aux tournées de Metronomy et de Jamie Woon et fait partie des nominés au prestigieux Mercury Prize (finalement remporté par PJ Harvey).

    En mai 2013 sort Some Say I So I Say Light, son second album, qui a globalement reçu de bonnes critiques.

    Après 2 ans d'absence il revient en mars 2015 avec Shedding Skin, son troisième album.

     

    Bon voilà pour la présentation du mec (tirée du Wikipedia anglais). Comme je fais partie du "public", je l'ai découvert avec son premier single que j'apprécie fortement (idem pour le clip):

     

    "Alors on boit"

     

    Comme on peut le voir sur la photo (où il affiche une bonne tête de shlag) et dans le clip, le mec semble plutôt porté sur la boisson. Sans avoir réellement suivi sa carrière, j'ai toujours kiffé son délire de rappeur- chanteur nonchalant. Vu qu'il est passé en concert je me suis dit que c'était l'occasion d'aller le voir et d'écouter ses deux derniers albums.

     

    Bon je ne dirai pas que son son n'est pas accessible mais il faut rentrer dans le délire. Jactant sur des instrus parfois minimalistes mais qui font mouche, Ghostpoet m'a impressionné à l'époque de son premier album , pas forcément pour les textes que j'ai pas trop calculés (à part le malsain Cash and Carry Home) mais plus pour la couleur générale et l'ambiance qui en ressort, avec son phrasé particulier.

     

     

    J'ai survolé ses deux albums suivants. Le 2ème, Some Say I So I Say Light, bien que dans la continuité du premier offre des instrus un peu plus élaborées et une plus grande variété dans leur couleur. Pourtant même si certains morceaux sont clairement enjoués, il est globalement plus sombre que le précédent. Ghostpoet a par ailleurs indiqué qu'il était dépressif tout au long de sa conception. Et ça s'en ressent fortement.

     

     

    Shedding Skin, son 3ème album, opte quant à lui pour un virage vraiment rock mais qui se marie bien avec le phrasé de Ghostpoet. Nettement moins sombre que le précédent (mais pas joyeux non plus), cet album est par contre bien plus nerveux et péchu et Ghostpoet en profite pour montrer qu'il peut très sortir de sa nonchalance pour exploser sur certains morceaux comme le très bon Better not Butter.

     

     

    Globalement les 3 albums sont toujours aussi sombres. C'est un peu de la musique de dépressif même si le 3ème l'est un peu moins. Personnellement j'ai peut-être une petite préférence pour le second album mais les trois sont très bien.

    Si j'en parle c'est qu'il vient donc de sortir son nouvel album (Shedding Skin donc) mais aussi et surtout parce qu'il est passé en concert il y a une dizaine de jours environ. Et ça valait clairement le coup. Sur scène il s'est pointé sans première partie vers 21h30 alors que le concert commençait à 20h30 (moche ça par contre), heureusement que j'avais prévu le coup. Fidèle à lui-même, avec une bière à la main, il a fait son show, tantôt nonchalant, tantôt énervé, tout en dégageant une présence naturelle et alcolisée, tel un Gainsbourg londonien. D'ailleurs, à travers son style et la noirceur qui émanent de certains morceaux on ne peut s'empêcher de penser au Gil Scott de la dernière époque:

     

     

     Il le cite d'ailleurs dans une chanson mais j'ai oublié laquelle. Il y a aussi quelque chose qui me fait penser à Bowie et Lou Reed chez lui, une espèce de déchéance magnifiquement mise en musique, un truc à la fois sombre et éclatant, surtout dans le dernier album.

    Bref, c'est un mec qui n'est pas assez connu à mon goût, vu qu'il est très bon en ce qui me concerne. Et puis il est nigerian ET anglais donc il est forcément bon tout court. CQFD

     

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